Un objectif en tête, devenir pilote de moto GP

Équipe éditoriale Cned

20/10/2023

Il a 14 ans et a déjà un beau palmarès dans son sport de prédilection. Antoine Nativi, vice-champion d’Italie en Aprilia 250 cc en 2022 a choisi le Cned pour poursuivre sa scolarité et débuter une carrière à haut niveau.

L’envie de me professionnaliser est venue avec le plaisir de piloter une moto, j’aime les sensations et la vitesse. Ma référence, c’est Marc Marquez, 8 fois champion du monde !

Se donner les moyens de progresser

Antoine a très vite compris qu’une scolarité classique s’avérerait incompatible avec ses ambitions et les contraintes d’une pratique sportive à haut niveau. Soutenu par ses parents, il s’orientera donc dès la classe de cinquième vers une scolarité à distance.

J’ai opté pour la scolarité à distance pour avoir plus de temps à consacrer à ma préparation physique et aux entraînements de moto à l’étranger. Avec le Cned, j’ai pu m’inscrire très facilement en classe complète réglementée.

Et dès la première année, ce choix s’avère gagnant. Le jeune homme finit troisième du championnat d’Italie en 160cc, puis vice-champion d’Italie en Aprilia 250cc l’année suivante. En 2023, alors qu’il réalise un premier podium à la Northern Talent Cup, Antoine poursuit sa scolarité avec le Cned en classe de troisième.

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Une scolarité à distance, facile, difficile ?

Antoine avait quelques appréhensions avant de commencer sa scolarité avec le Cned. Il pensait que ce serait difficile. Mais en faisant preuve d’organisation et d’assiduité, il a très vite trouvé ses marques.

Les lundis, mardis, jeudi et vendredi, j’étudie de 9h à 16h et je travaille ma condition physique de 17h à 19h. Le mercredi et les week-ends sont généralement consacrés aux entraînements moto.

La pratique de la moto à haut niveau étant saisonnière, Antoine adapte son emploi du temps en fonction de ses disponibilités, c’est d’ailleurs une force de la scolarité avec le Cned. En période creuse l’hiver, le jeune sportif étudie la semaine mais aussi le week-end, afin d’avancer un maximum sur le programme. Dès le printemps, les déplacements se font plus réguliers, pour les entraînements et les compétitions. Il consacre alors moins de temps à sa scolarité.

C’est cette flexibilité qui a séduit Antoine et ses parents, même si le jeune homme insiste sur la rigueur et le sérieux qu’une telle scolarité à distance requière.

Quand on est sérieux et régulier, faire sa scolarité à distance n’est pas difficile. Mais il faut savoir travailler dur et rester motivé, l’école c’est aussi important que le sport.