
Batty, diplômée de la Capacité en droit : un parcours guidé par ses passions

Équipe éditoriale Cned
20/06/2025
En 2020, en pleine crise sanitaire, Batty décide de s’inscrire à la Capacité en droit proposée par le Cned et l’Université Panthéon-Sorbonne. Deux ans plus tard, elle décroche son diplôme avec fierté.
À 30 ans, Batty conjugue une curiosité insatiable pour le droit, un goût prononcé pour les langues, notamment l’anglais, et une appétence marquée pour les domaines artistiques et la mode.
J’étais motivée par une grande curiosité, et le besoin d'en savoir plus. C’est ce qui m’a poussée à me lancer.
Un cheminement atypique, porté par la motivation
Avant de se tourner vers le droit, Batty avait suivi un baccalauréat STG, option Communication et Gestion des Ressources Humaines, puis entamé une licence en Langues étrangères appliquées (anglais-allemand). C’est au détour d’une recherche en ligne, pendant le confinement, qu’elle découvre la Capacité en droit : une formation accessible, flexible, et en adéquation avec son profil.
Ce qui m’a motivée à choisir ce diplôme, c’est qu’il représentait une réelle porte d’entrée dans le domaine juridique, même avec un background différent. Ma mère croyait beaucoup en moi et en mes capacités juridiques. Elle m’a poussée à croire que ce diplôme pouvait vraiment m’ouvrir des portes.
Une formation pensée pour l’autonomie
L’organisation en distanciel sur deux ans a été un véritable atout pour Batty, qui menait en parallèle d’autres projets professionnels et créatifs.
Il n'y avait pas de pression constante, et c’est justement ce qui m’a plu. [...] Si ça n’avait pas été à distance, je n’aurais sans doute pas pu suivre la formation.
Le contenu de la formation l’a rapidement captivée : introduction générale au droit en première année, puis la possibilité de choisir une spécialité en deuxième année : J’ai choisi le droit pénal qui m’a toujours fasciné.

Capacité en droit : découvrez la formation du Cned
En savoir plusUne montée en compétence progressive
Si ses premières semaines ont été marqués par quelques difficultés d’organisation, Batty a su s’adapter et structurer sa méthode de travail. La régularité est essentielle selon la jeune femme pour progresser sereinement.
Mon objectif, c’était vraiment d’être constante, de ne pas accumuler de retard, car ça se ressent directement dans les résultats. Je révisais donc environ deux heures par jour en moyenne. Quand j’avais des devoirs à rendre, je pouvais y consacrer toute la journée, surtout les week-ends.
Elle garde un excellent souvenir de l’accompagnement proposé par l’Institut d’études à distance de l’École de droit de la Sorbonne :
Tout était clair : les cours, le tutorat, les regroupements. En deuxième année, j’ai eu la chance d’avoir une professeure de droit pénal exceptionnelle. Elle m’a beaucoup soutenue après une première mauvaise note, en me proposant des exercices supplémentaires.
Une réussite méritée
Grâce à sa régularité et à l’attention portée aux retours des enseignants, Batty s’est sentie prête le jour de l’examen, malgré un stress bien présent.
J’ai validé les écrits, puis les oraux, qui sont d'autant plus stressants malgré la préparation. Mes résultats ont été à la hauteur de mes efforts, et j’en suis fière.
Ses conseils aux futurs étudiants
À celles et ceux qui envisagent de suivre cette formation, Batty recommande de s’organiser dès le début, de rester motivé malgré les éventuelles baisses de régime, et de ne pas craindre les erreurs :
Il ne faut jamais se décourager après une mauvaise note. C’est le moment de se rapprocher des profs, de demander de l’aide.
Elle insiste aussi sur sa méthode pour bien assimiler les informations : Personnellement, je préférais passer deux ou trois jours sur le droit pénal, puis deux ou trois sur le droit social ou commercial, plutôt que de tout mélanger dans la même journée.
Des compétences mises à profit dans son quotidien
Avec cette formation, Batty a acquis des compétences solides. Elle vu ses capacités rédactionnelles s’améliorer, elle a appris à lire et surtout comprendre des arrêts de la Cour de cassation, à utiliser un vocabulaire juridique… Même au quotidien, dans l’actualité politique ou juridique, je comprends mieux certaines choses aujourd’hui.
Après l’obtention de son diplôme, Batty a choisi de ne pas poursuivre immédiatement dans le droit, préférant explorer d’autres passions et objectifs professionnels. Cependant, elle ne ferme pas la porte à un retour dans ce domaine.
Obtenir ce diplôme, c’était la cerise sur le gâteau pour moi. Le droit restera toujours une passion, c’est quelque chose qui fait partie de moi.
Aujourd’hui en reconversion professionnelle, elle valorise pleinement les compétences acquises durant la formation, notamment en analyse, en rédaction et en raisonnement logique.
Ce diplôme m’a clairement aidé à concrétiser certains objectifs professionnels. Même dans mes projets personnels, liés à l’écriture ou à la mode, ce bagage juridique m’a été utile.
Ces témoignages peuvent vous intéresser...

Marine, diplômée de la capacité en droit proposée par le Cned
05/06/2025
Mère de 3 enfants, Marine a choisi la formation du Cned pour se réorienter

Anthony, diplômé de la capacité en droit avec le Cned
05/06/2025
Étudiant en master et élu local, Anthony a suivi la Capacité en droit avec l’Université Panthéon-Sorbonne

Guillaume : de la biologie au droit
05/06/2025
Ce chercheur pasionné ajoute une nouvelle corde à son arc avec la Capacité en droit