Guillaume : de la biologie au droit, un parcours guidé par la curiosité et l'engagement citoyen

Équipe éditoriale Cned

20/06/2025

À 33 ans, Guillaume est chercheur en biologie computationnelle.

Le parcours universitaire de Guillaume est déjà bien fourni : bac scientifique, DUT en informatique (IUT de Vannes), licence en biologie moléculaire, master en bio-informatique/biostatistique à l’Université de Nantes, puis un doctorat en sciences de la vie et de la santé à l’Université Paris-Saclay. En 2023, il y ajoute une nouvelle corde à son arc : la Capacité en droit. Retour sur un choix aussi original que réfléchi.

Un intérêt pour le droit né sur les bancs de l’Université

Je connaissais la Capacité depuis longtemps, mais c’est en effectuant des recherches sur Internet que j’ai découvert la formation proposée par le Cned et l’Université Panthéon Sorbonne.
Cet intérêt pour le droit ne date pas d’hier. Déjà étudiant à Nantes, Guillaume n’hésitait pas à assister à des cours de droit lorsqu’il avait un peu de temps libre. Ce goût pour la culture juridique l’a suivi, et s’est peu à peu imposé comme une compétence utile dans toutes les sphères de sa vie.

La culture juridique me semble utile dans tous les domaines de la vie quotidienne. Même si je ne suis pas avocat, les exceptions prévues par la loi me permettent d’assister mes proches dans de nombreuses situations.
Il évoque notamment son rôle auprès de sa famille, qu’il a pu aider à résoudre des litiges avec leur assurance ou leur banque — avec succès.

Un outil précieux au service de sa vie professionnelle et citoyenne

Son métier de chercheur dans le secteur public l’amène fréquemment à croiser le droit : droit administratif, fonction publique, propriété intellectuelle, RGPD… autant de domaines qu’il a désormais les moyens de mieux comprendre.
Être chercheur, c’est un peu comme être entrepreneur : il faut gérer des aspects RH, financiers, de communication, mais aussi juridiques, comme la propriété intellectuelle ou le droit des données personnelles.

Le droit ne se limite pas, pour lui, à des considérations professionnelles. Il constitue également une grille de lecture du monde contemporain. En tant que citoyen, le droit constitutionnel m’aide à comprendre les enjeux politiques et institutionnels.

C’est donc logiquement qu’il profite du confinement pour franchir le pas et s’inscrire à la Capacité en droit.

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Une méthode rigoureuse pour réussir à distance

Avant de commencer, Guillaume ne connaissait le Cned que de réputation. Mais sa confiance dans le service public et l’enseignement à distance l’a encouragé à sauter le pas. Et il ne le regrette pas.

Il adopte une organisation rigoureuse : La première année, je consacrais deux heures aux cours le mercredi, six heures le samedi, et 45 minutes chaque matin avant le travail. En deuxième année, j’ai ajouté deux heures le lundi. Avant chaque semaine d’examen, je prenais aussi quelques jours de congés pour me consacrer entièrement aux révisions.

Selon lui, la formation est relativement accessible, avec pour seuls prérequis la maîtrise de la langue française et beaucoup de motivation. Grâce à un travail régulier, aux examens blancs et aux corrigés proposés, il décroche son diplôme avec une excellente note.

Le collectif comme moteur de réussite

Guillaume insiste sur l’importance du soutien collectif dans une formation à distance. Travailler seul est, selon moi, le meilleur moyen de procrastiner… puis d’abandonner.
Il recommande donc vivement de rejoindre une communauté en ligne. Pour sa part, il a créé un serveur Discord, permettant aux étudiants de se retrouver chaque semaine pour réviser ensemble.
Cela m’a permis de faire des rencontres marquantes durant une période difficile. Ce fut, à mes yeux, un succès aussi important que l’obtention du diplôme.

Il garde un excellent souvenir de la formation :
Les supports proposés sont de qualité et permettent de suivre la formation à son rythme. Les enseignants répondent généralement dans des délais raisonnables. Il apprécie également les regroupements proposés le samedi : qui permettent de créer une forme de communauté, même s'il reconnait que tout le monde ne peut pas y participer compte tenu des contraintes de chacun.

Il souligne cependant un point essentiel : Il faut le dire clairement, la formation ne propose pas de soutien individuel. C’est donc aux étudiants de mobiliser leur énergie pour ne pas perdre leur motivation.

Une poursuite d’études et une mise en pratique concrète

Fort de son excellent parcours et de ses nouveaux acquis juridiques, Guillaume a été admis au master à distance en droit de la santé et du numérique proposé par l’Université Paris 8. Si la recherche reste au cœur de son activité, il supervise désormais aussi le travail d’une juriste spécialisée en droit des données de santé, en lien avec ses projets scientifiques.

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