
Kelly, l'écriture publique au service des autres

Équipe éditoriale Cned
26/04/2023
Kelly ne se prédestine pas à devenir écrivaine publique. Après un bac littéraire et l’obtention d’un BTS Tourisme, elle enchaine les jobs alimentaires avant de reprendre ses études. Elle obtient alors une licence puis un Master Aménagement et urbanisme option valorisation du patrimoine. Elle occupe ensuite un poste de chargée d’études mais très vite, elle est confronté à une perte de sens dans son travail. Elle réalise alors un bilan de compétence.
J’ai découvert l’existence du métier d’écrivain public et décidé d’intégrer bénévolement une association d’écrivains publics à vocation sociale qui s’appelle « Les mots pour l’écrire ». En parallèle, j’ai choisi de suivre la formation du Cned pour confirmer ou infirmer mon choix d’orientation et pour asseoir ma légitimité à exercer ce métier.
Le Cned, un choix de raison
Le Cned était une évidence pour Kelly. La formation proposée est d’ailleurs recommandée par le réseau d’écrivains publics. L’enseignement à distance permet aussi de continuer la pratique du bénévolat tout en se formant à la théorie.
La formation proposée est recommandée par le réseau d’écrivains publics.
Elle alterne alors entre des demi-journées d’observation à l’association et les cours du Cned.
Elle prend connaissance des cours, n’hésites pas à les retravailler pour mieux se les approprier puis réalise les devoirs proposés.
C’était relativement facile puisque j’ai pu travailler à mon rythme. Il faut cependant veiller à ne pas se laisser déborder. Installer une routine, c’est le meilleur moyen d’être régulier.