Xavère, une trajectoire guidée par la persévérance et le soutien familial

Tout commence en 2003, lorsque Marie décide d’inscrire sa fille aux cours à la carte de français du Cned. Le choix du Cned était une évidence, les cours étaient de qualité, structurés par chapitres, avec des évaluations corrigées par un professeur de l’Éducation nationale, explique-t-elle.
L’expérience se prolonge de la 5e à la 3e et dépasse rapidement le simple cadre scolaire : J’avais un niveau très moyen à l’écrit et à l’oral, malgré 11 ans d’orthophonie. Grâce au Cned, j’ai découvert la littérature, et mes parents m’encourageaient en me proposant des lectures complémentaires, se souvient Xavère.

Une autonomie grandissante

Au lycée, c’est la jeune fille elle-même qui réclame de nouveaux cours avec le Cned. L’été de sa seconde, elle demande à suivre le programme de première afin de préparer son bac de français avec un temps d’avance. Cette démarche marque le passage de la contrainte parentale à une véritable appropriation de l’outil pédagogique.

Quelques années plus tard, en 2014-2015, alors qu’elle fait une césure entre licence et master, Xavère choisit d’entretenir son espagnol avec le Cned. Je ne voulais pas perdre mon niveau pendant mon année en tant que fille au pair. Le Cned m’a permis de travailler en autonomie et de préparer les concours d’écoles de commerce, raconte-t-elle.

Le retour en formation : écrire pour entreprendre

En 2024, c’est un nouveau tournant. Désireuse de devenir autrice et de renforcer sa communication professionnelle, elle s’inscrit à la formation d’écrivain public. Elle y retrouve à la fois la rigueur académique du Cned et les échanges entre pairs grâce aux forums et aux binômes d’entraide : Une astuce que je recommande vivement pour rompre l’isolement des cours à distance.

Cette formation lui sert directement dans le lancement d’EntreCoachPreneur, son projet entrepreneurial : elle rédige elle-même un communiqué de presse et confie des missions d’écriture à l’une de ses camarades du Cned.